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Le programme aide à faible revenu fumeurs à Habit Sondra Pasquine, 24, parle avec son conseiller pour cesser de fumer, Allison Diamond, dans un centre de santé communautaire à Boston. Diamant montre Pasquine un graphique sur les niveaux de monoxyde de carbone toxiques dans les poumons des fumeurs. Richard Knox / NPR hide caption caption toggle Richard Knox / NPR Sondra Pasquine, 24, parle avec son conseiller pour cesser de fumer, Allison Diamond, dans un centre de santé communautaire à Boston. Diamant montre Pasquine un graphique sur les niveaux de monoxyde de carbone toxiques dans les poumons des fumeurs. Le taux global de tabagisme des Etats-Unis est la moitié de ce qu'elle était dans les années 1960. Mais cela ne vaut pas chez les Américains à faible revenu: Ils sont toujours à fumer autant que tout le monde était il y a une génération. responsables de la santé du Massachusetts dire qu'il n'a pas à être de cette façon. Ils disent qu'ils ont trouvé un moyen d'obtenir même les fumeurs les plus hard-core à cesser de fumer. Le programme est conçu pour aider les gens comme Sondra Pasquine. Pasquine, 24 ans, travaille comme un aide de maison de soins infirmiers, et elle veut arrêter de fumer. Grâce au programme du Massachusetts, elle a un conseiller de sevrage tabagique, infirmière Allison diamant du centre de santé Dorchester House. Lors d'une récente séance de conseil, Diamant poussé Pasquine à articuler ce qu'elle n'aime pas fumer. «Que ne me plaît? L'odeur. Il obtient dans vos vêtements, vos cheveux», répond Pasquine. «Et je ne veux pas le cancer." Pasquine a vu des membres de la famille souffrent d'un cancer lié au tabagisme. Au cours de leur séance de 20 minutes, le Diamond donne Pasquine quelques conseils sur la façon d'être plus conscients de ce qui la pousse à éclairer. Elle suggère griffonner la raison à chaque fois, et lui donne un journal "pack wrap" qui va comme un manchon autour de son paquet de cigarettes. Diamant écrit aussi une prescription pour Chantix, un médicament qui émousse le plaisir de la nicotine. Il n'y a rien de révolutionnaire de la méthode. Mais les données préliminaires du ministère de la Santé publique du Massachusetts indiquent que amener les gens à faible revenu comme Pasquine à cesser de fumer peut être juste une question de leur donner accès à la cessation des aides même à fumer que les gens les plus riches et les plus instruits ont - patchs à la nicotine, les médicaments et conseils. Le programme aide Medicaid participants Quit Le Programme de cessation et de la prévention du Massachusetts Tobacco offre aux participants des conseils, des timbres de nicotine et médicaments cesser de fumer. Source: Massachusetts Tobacco Cessation & Prevention Program Crédit: Alyson Hurt et Kathleen Masterson / NPR Cet accès - en plus d'une grande campagne médiatique ciblée sur les gens inscrits à MassHealth, le programme Medicaid de l'État Bay - semble avoir apporté des gains impressionnants. Plus de 75.000 membres MassHealth ont profité de sevrage tabagique programmes financés par l'État. Près de la moitié, l'Etat dit avoir réussi à arrêter. Avant la grande poussée, environ 40 pour cent des adultes sur Medicaid étaient le tabagisme, un taux qui n'a pas diminué depuis de nombreuses années. Mais entre 2006 et 2008, les chiffres de l'Etat montrent, leur prévalence du tabagisme a chuté de 26 pour cent. Par comparaison, le tabagisme chez les personnes sans couverture d'assurance, un groupe en grande partie sur l'extrémité inférieure de l'échelle des revenus, est resté inchangé. Récolter Les avantages Et les fonctionnaires de l'Etat disent qu'ils voient des améliorations majeures en matière de santé - plus tôt que prévu. En un an d'entrer dans des programmes de renoncement au tabac, les bénéficiaires de Medicaid ont été hospitalisés pour une crise cardiaque de 38 pour cent moins souvent que l'année précédente. visites aux salles d'urgence pour l'asthme ont diminué de 17 pour cent. Les complications de grossesse ont également diminué, disent les officiels. "Je pense que ça fait une énorme différence», dit le Dr Nancy Rigotti, qui dirige la recherche et le traitement du tabac au Massachusetts General Hospital. Elle attribue les prestations de Medicaid généreux avec donnant beaucoup de gens à faible revenu du type de chance de quitter ont jamais eu auparavant. Rigotti note que les règlements fédéraux exigent que les timbres de nicotine vendus dans des emballages qui contiennent l'approvisionnement d'une semaine. Cela a été destiné à éviter la dépendance sur les patchs. "Donc, si vous ne disposez pas de beaucoup d'argent et vous êtes accro à la nicotine, vous pourriez être en mesure de scrabble ensemble assez d'argent pour payer pour un paquet de cigarettes, mais vous pouvez probablement pas acheter la valeur d'une semaine de patchs à la nicotine », dit Rigotti. La puissance de la pression sociale Le programme Massachusetts, lancé dans le cadre du point de repère 2006, la loi de l'Etat qui a progressivement étendu l'assurance-maladie à presque tous les résidents, a ses sceptiques. Michael Siegel de l'École de santé publique de l'Université de Boston ne doute pas qu'il ya eu une baisse importante de la prévalence du tabagisme parmi la population Medicaid. Il est moins convaincu des données sur moins d'admissions à l'asthme et les crises cardiaques, parce qu'il n'y avait pas de population témoin. Et Siegel, comme d'autres, doute que fournir à faible coût des pilules de sevrage tabagique et des correctifs a fait la différence. Il pense que le blitz médiatique devrait obtenir la plupart du crédit. "Mon opinion est que ce que nous sommes susceptibles de voir ici est que 80 pour cent des fumeurs veulent arrêter de toute façon, et cette campagne publicitaire a ces fumeurs à tirer sur la gâchette», dit Siegel. «Je ne pense pas que ce soit nécessairement [que] le médicament lui-même a eu pour effet, parce que les taux d'abandon sont lamentables de médicaments." D'autres disent qu'il est possible que des médicaments et des conseils peuvent donner un coup de pouce supplémentaire nécessaire pour les fumeurs à faible revenu, qui vivent dans un environnement où beaucoup plus de membres de la famille et des amis fument. "Il est particulièrement difficile quand vous avez des amis qui fument», dit Pasquine. «Vous savez, vous voyez tous vos amis fouettent des cigarettes. Il est comme vous êtes le seul qui ne le font pas." Il ne fait aucun doute que les facteurs sociaux exercent une puissante force à pousser les gens à commencer à fumer en premier lieu. Et Nicholas Christakis de l'Université de Harvard dit qu'il y a de bonnes preuves que les facteurs sociaux peuvent travailler dans le sens opposé - pour encourager l'abandon. "Quand vous êtes une personne à arrêter de fumer, vous obtenez tous ces effets d'entraînement», dit Christakis. "Quand vous êtes une personne à cesser de fumer, vous obtenez autant que trois autres personnes à cesser de fumer sur tout le réseau de cette personne. Donc, votre intervention est quatre fois plus rentable que vous avez pensé que ce serait." À un certain point, dit-il, le phénomène peut atteindre un point de basculement. Comme la culture des changements de fumer dans une population, il y a moins de fumeurs, et qui le rend plus facile pour ceux qui restent à cesser de fumer. Mais bien sûr, il est fondamentalement une affaire d'une seule personne-à-un-temps. Voilà pourquoi, de retour à Dorchester House, Allison Diamant veut Sondra Pasquine faire une chose avant qu'elle ne quitte - souffler dans un détecteur de monoxyde de carbone. Diamant explique que le monoxyde de carbone se situe dans les gaz d'échappement et de la fumée de cigarette. "Donc, la même chose qui sort du tuyau d'échappement est dans les cigarettes, et vous êtes la respiration que." Le détecteur indique le niveau de monoxyde de carbone de Pasquine est dans la «zone de danger» rouge de la cigarette elle fumait ce matin. Elle a l'air dégoûté. «Je suis déterminé à cesser de fumer maintenant", dit-elle. Diamant devine que Pasquine a une chance de quitter l'année suivante 50-50. Elle va probablement besoin de plusieurs autres tentatives Medicaid financés. Mais diamant dit le plus de fois les gens essaient de cesser de fumer, la meilleure chance qu'ils ont. Parce que chaque fois, ils gagnent plus de perspicacité dans pourquoi ils fument. Histoires connexes NPR
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